Le pianiste Louis de Koning

Connaissez vous ce néo-saissagais ?
Certainement que oui,
ou du moins pour ceux qui fréquentent le quartier des tours.

Mais saviez vous 
que c'était un artiste ?

Louis de Koning, le "pro" du piano !

... 40 ans !

LDDM 16092015

... ça bouge !

Suite à la récente démission de Maryse Vieu du Conseil Municipal, 
ce dernier s'est réuni pour compléter
l'équipe d'adjoints.

C'est désormais
Eric Béteille
qui fera fonction de 4ème adjoint.

... "Saissac d'Antan" !

Festif Agri, J - 5

Les moutons rois

de Saissac

Durant deux jours, le 1er et le 2 août, le petit village de Saissac (900 habitants)
sera le centre d'une grande fête agricole, avec l'organisation du championnat de France de tonte de moutons. 

À Saissac, tout le monde s'y est mis.
Agriculteurs, éleveurs, élus, habitants ont les yeux braqués vers le premier week-end août.

Vidéo de présentation, clic ci dessous
http://www.dailymotion.com/video/k5477gfp324iKPc7GkH

101 ans !!!

C'est entourée de sa famille et des membres du conseil municipal
qu'elle les a fêtés, lors d'un apéritif
organisé à l'EHPAD.

A l'an prochain !

La suite ci dessous

Un 14 juillet solennel !

Pour cette année 2015, la cérémonie de célébration de la Fête Nationale, avait revêtu une solennité particulière. Après un dépôt de gerbes au monument du maquis puis au monument aux morts de Saissac, un de nos concitoyens  était mis à l’honneur.
Jean-Baptiste Fantin, recevait en effet la médaille de reconnaissance de la Nation, remise des mains de Madame Odile Seigné, Maire de Saissac.
Né à St Papoul mais enfant de Saissac, menuisier charpentier de profession,  Jean-Baptiste Fantin a été 24 longues années conseiller municipal et premier adjoint sous les mandatures de Paul Durand.
Faisant partie de la classe 53, il était appelé pour effectuer son service militaire le 4 mai 1954, et affecté à Villengen en Allemagne, au 32^ème régiment d’artillerie
du 9 mai 54 au 8 septembre 55. Maintenu sous les drapeaux à l’issue, il était envoyé comme 2^ème classe à Peregaux en Algérie le 9 septembre 55, puis successivement à Jerada-Taouirat et Teniet El Begra. Il était libéré le 13 mars 1956 après 22 mois sous les drapeaux. Il fut ensuite l’un des membres fondateurs du comité de la FNACA sur le canton de Saissac en 1972.  Toutes nos félicitations au récipiendaire.

Plus ci dessous

Ce qu'on en dit dans la plaine ...

Vu par l'artiste carcassonnais Zanda

La suite ci dessous

Les anti ont ils gagné la guerre ou seulement une bataille ?

Sur la Dépêche, ce jour !

Claude BOUDET

Stéphane, l'homme du match !

Depuis le lundi 04 mai les résidents du secteur protégé ont eu le plaisir de voir arriver MIMI une jeune chatte, de 2 ans et dont nous avons le projet de pouvoir l’adopter.

La présence de MIMI au sein de l’unité peut rappeler à nos pensionnaires ce que l’animal de compagnie leur apportait à la maison. Cette présence animale fait partie des thérapies non médicamenteuses. Les études scientifiques démontrent tous les bienfaits de l’animal de compagnie sur notre santé mentale et physique.

L’animal de compagnie pour une personne atteinte de la maladie d’Alzheimer ou de pathologie apparentée peut avoir un effet bénéfique au niveau des troubles du comportement et de la communication.

Pour l’instant, MIMI fait connaissance des lieux, des  pensionnaires, elle se laisse caresser mais reste encore un peu sauvage, peureuse. Pour l’instant elle est avec nous pour une période d’essai d’un mois. Nous leur souhaitons la bienvenue.

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Dans la presse dès le 9 Mai, réactifs !

Une fois n'est pas coutume, un groupe bien sympathique à la Une aujourd'hui !

Un "gamin" qui monte !

Kévin Lautré

Au fil des matchs,
profitant de la blessure du titulaire,
il s'impose de plus en plus
dans les cages de l'ASSC.

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Au Centre de Vacances
de
Fontcroisette

SAISSAC
en photos!

Retrouvez mes plus belles photos
de notre village
sur Flickr!

L'album sera mis à jour régulièrement.

https://www.flickr.com/photos/129966042@N04/

Une école qui s'affiche !

L'école de Saissac
vit avec son temps !

Elle s'affiche sur le Net !

Un site internet trés sympa
où vous trouverez tout ce que vous voulez savoir
sur le lieu où étudient vos enfants.

http://www.ecoledesaissac.com/index.htm

A la Une : Nos superbes Pyrénées aujourd'hui !

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Déjà 100 printemps!

Honneur à un ancien Saissagais

Bernard Margarit

Marie Christine Xaille

Elle a porté les couleurs de Saissac
lors de l'émission
"Questions pour un champion"

Les champions historiques de «Questions pour un champion» s'affrontent
et tentent de rester en lice cinq semaines consécutives afin de remporter 50 000 euros.

Son parcours:
http://www.france3.fr/emissions/questions-pour-un-champion/videos/116145012?onglet=tous&page=1

Félicitations !

"Bénévole du mois"

A l'occasion de l'AG du District,
l'ancien président de l'ASSC, monsieur Jack CHEVALLIER,
a eté honoré en tant que "bénévole du mois".

Une distinction qui sera remise périodiquement à ceux
que les instances jugeront méritants.......

La vie d’un "guerrier du vin" contée par sa fille

Anne Maffre-Baugé fait revivre l'itinéraire d'un noble, catholique et député proche du PC.
Elle vient de publier un livre sur son père :
"Emmanuel, une terre qui s'écrit".

Porte-parole du Midi viticole dans les années 1960 à 1980, alors que la région traversait une crise grave, Emmanuel Maffre-Baugé (1921-2007) était un vigneron et un écrivain, catholique fervent, engagé aux côtés du Parti communiste français. Un "guerrier du vin" dans une période trouble - marquée par les deux morts de la fusillade de Montredon-Corbières, en 1976 - comme le furent, dans l'Aude, André Castera, Jean Vialade, André Cases ou Henri Fabre-Colbert. Petit-fils du poète occitan Achille Maffre de Baugé, "E. M.-B." a été aussi député européen de 1979 à 1989.

"C'est davantage un roman qu'une biographie"

Sa fille Anne, installée à Saissac, dans le Cabardès audois, et professeur de philosophie (à Bamako, Nîmes, Montpellier et Carcassonne), vient de publier un livre sur son père : Emmanuel, une terre qui s'écrit (*). "C'est davantage un roman qu'une biographie. Mais tout ce qui concerne les événements viticoles et le parcours de mon père est rigoureusement exact", précise-t-elle. Emmanuel Maffre-Baugé était issu d'une famille de tradition royaliste, "extrêmement conservatrice". Mais, rebelle dès sa jeunesse, "il a choisi son propre chemin".

Compagnon de route du PCF

Au point, plus tard, de devenir compagnon de route du PCF. Et ceci après son engagement syndical (1963), sa participation à la création du premier comité d'action viticole de l'Hérault (1967) et son élection comme président de la Fédération nationale des vins de table et de pays ainsi qu'à la chambre régionale d'agriculture (1974).

Car, même s'il avait hérité des vignes et de la propriété familiale de Belarga, près de Pézenas, "E. M.-B. était un représentant sans le sou de la noblesse terrienne. "Mon père avait réussi à faire du bon vin dans les années 50 mais ses conditions de vie très difficiles l'avaient rapproché du peuple vigneron. Mes parents, qui n'avaient pas d'argent, vivaient comme des prolétaires. Lorsqu'on me traitait de riche à l'école, je ne pouvais pas le supporter. Finalement, l'aventure viticole s'est soldée par un échec. Mon père a été obligé de tout vendre. Nous n'avons plus une seule souche", insiste Anne Maffre-Baugé.

"Il n'avait pas un caractère facile"

Et d'ajouter : "Il n'avait pas un caractère facile. Mais, du fait de son engagement complètement désintéressé, son idéalisme et ses qualités de tribun, j'ai de l'admiration pour lui". L'auteur retrace avec sensibilité le parcours de son père et, en même temps, fait revivre un Languedoc qui a disparu. Elle partage aussi avec son père une même passion pour l'écriture. Emmanuel Maffre-Baugé avait en effet été un auteur à succès (notamment de Vendanges amères), invité par Bernard Pivot et Jacques Chancel.


(*) "Emmanuel, une terre qui s'écrit", aux éditions "Les presses littéraires". 418 pages (20 euros).

http://www.midilibre.fr/2014/12/31/narbonne-la-vie-d-un-guerrier-du-vin-contee-par-sa-fille,1104914.php

SCOOP

Pris sur le fait, cette nuit,
en plein repos récupérateur !

Il est passé par Chez Sophie !

Il est des commerces où Noël
rime avec fête !

"Chez Sophie"
est un de ceux là !

Outre sa superbe vitrine
décorée pour l'occasion,
elle a eu, ce mercredi,
la visite d'un personnage illustre mais toujours mystérieux,

Le Père Noël.

Autant dire
que les enfants et les parents présents
avaient les yeux écarquillés !

Merci Sophie pour tes relations !

A la Une sur La Dépêche du Midi

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La bibliothèque inaugurée

Sur La Dépêche du Midi, ce jour !

Le maître du temps

Patrick Mounier

Patrick Mounier, est né à St Étienne il y a, à peine, 70 ans, fils, petit-fils et même arrière-petit-fils d'horloger, sa famille a fondé

l'horlogerie Mounier-Tardy en 1887, une belle «Maison» comme on disait autrefois, de la jolie ville de St Étienne. Alors, un jour Patrick Mounier, en vacances, visite notre belle région et en tombe amoureux. Cela fait à présent deux ans qu'il s'est installé à Saissac dans une coquette maison du centre du village, dont le rez-de-chaussée est le magasin. Une véritable caverne d'Ali Baba : on y croise les horloges à restaurer ou réparer mais aussi d'autres produits à la vente comme d'incroyables montres anciennes, notamment une montre russe avec son étoile rouge et le sigle CCCP ! Un endroit magique regorgeant de trésors hors du temps comme figés par le son du balancier d'une pendule centenaire.

Patrick affiche aujourd'hui 50 ans de métier, tombé dedans un peu comme un célèbre gaulois, il apprend le métier par un Maître horloger qui avait été lui-même l'élève de son arrière-grand-père ! Alors il apprend à fabriquer les pièces nécessaires à la restauration, il répare toute sorte de pendules, montres horloges mécaniques, etc.. Il nous dit que l'horlogerie ancienne a cessé d'évoluer dans les années soixante, le quartz est arrivé et a détrôné l'horlogerie courante, un peu comme la photo avec le numérique ; d'ailleurs en 1960 à Saint-Étienne il y avait 180 horlogers réparateurs pour cette ville de 400 000 habitants, actuellement il n'en reste qu'un seul ! Le marché n'est plus là et la profession n'évolue plus. Qu'à cela ne tienne, Patrick y croit encore et pour longtemps, il est un virtuose dans la minutie, la patience et le goût du travail bien fait, il répare toutes sortes d'horloges telles les «Comtoises», «pendules de Paris», autres horloges «Tableau» ou «Morez», pendules de cheminée et toutes les montres mécaniques !

Son magasin tout droit sorti d'un conte de Noël ouvre ses portes tous les matins du mardi au samedi de 9 heures à 12 h 30, alors si le cœur vous en dit soyez ses invités et venez rencontrer un véritable Maître du Temps. (renseignements au 04 68 78 76 51).

100 printemps!

On se porte bien à "Las Fountetos"

Le film la "Vie sauvage" dans les salles !

On vous en avait parlé ! 

La première partie du tournage de ce film avec Mathieu Kassovitz s'achève dans le Carcassonnais.

Ils sont passés par ici, ils repasseront par là ! Le tournage du film "Vie sauvage" ressemble à l'histoire dont il est inspiré. Déplacements incessants, planques dans des sites naturels, et discrétion absolue ! Comme Xavier Fortin qui avait fugué pendant onze ans après avoir enlevé ses enfants à leur mère, l'équipe qui réalise le film s'est fondue dans le décor. Et a sans cesse modifié ses plans. Alors que le tournage de nombreuses scènes était prévu en juillet dans l'Aude, ce n'est que fin août qu'elles ont finalement été mises en boîte.

C'est du côté de Saissac et Lacombe que l'équipe a posé son matériel. La semaine dernière, les caméras ont également tourné du côté de Bram et Saint-Martin-le-Vieil. "D'autres scènes ont été tournées dans les Pyrénées-Orientales, dans les Cévennes lozériennes et à Montpellier", explique la directrice de production, Aude Cathelin. Presque tous les paysages de l'Hexagone sont représentés en Languedoc-Roussillon. Un avantage utilisé par le réalisateur Cédric Kahn et son équipe pour limiter au maximum les (nombreux) déplacements.

Enfants et animaux

Ce tournage est d'autant plus délicat qu'il se déroule avec des enfants. Les deux fils de Xavier Fortin sont joués par quatre garçons de différents âges, le film se déroulant à différentes époques. Des animaux figurent également au casting, ce qui nécessite un silence absolu. C'est aussi ce qui explique que l'équipe de tournage soit aussi resserrée… et aussi discrète !

En janvier, techniciens et comédiens reviendront en montagne Noire, pour enregistrer des scènes hivernales. Ces quelques journées de tournage s'annoncent très difficiles en raison du froid. Des scènes seront tournées dans la forêt de la Loubatière, censée représenter… la Normandie dans le film ! Mathieu Kassovitz, qui joue dans l'immense majorité des scènes, sera là. Tout comme Céline Salette, nommée au César 2012 de meilleur espoir féminin pour "L'Apollonide". Et bien sûr le réalisateur Cédric Kahn, dont c'est le 9e long-métrage… et sûrement pas le plus simple !

http://www.lindependant.fr/2013/09/04/le-film-vie-sauvage-cultive-le-secret,1786963.php

Stéphanie Hortala

Les élections départementales prévues fin mars 2015 se préparent sur tous les territoires, les périmètres des futurs cantons ont été modifiés et agrandis. Le département comptera dix-neuf cantons au lieu de trente-cinq. Les citoyens seront appelés à élire un binôme «homme-femme» sur chaque canton, ainsi la parité sera enfin respectée au niveau des conseillers départementaux. Le futur canton de La Malepère à la Montagne Noire regroupera les communes de Montréal, Arzens et Villeneuve-lés-Montréal, les communes de l'ex-canton d'Alzonne sauf Aragon et Ventenac-Cabardès, les communes du canton de Saissac, et certaines communes de l'ex-canton de Castelnaudary-Nord (Carlipa, Cennes-Monestiés, Villespy, Villemagne, Verdun, Labécède, Les Brunels). Sur ce territoire, en vue de la prochaine désignation par le Parti socialiste, se sont portés candidats : Stéphanie Hortala (Saissac) et Régis Banquet (Alzonne) comme titulaires et Huguette Palacios (Arzens) et Serge Serrano (Carlipa) comme suppléants. Le choix territorial permet à chaque ex-canton d'être représenté par un des candidats.

À Rennes-les-Bains, un abbé peut en cacher un autre

La Dépêche du Midi

Déjà 100 printemps!

Mlle Suzanne Bres est née le 19 juillet 1914 à Bessèges, dans le Gard. Elle y a passé son enfance et son adolescence. C'est là qu'en 1934 elle épouse André, et devient Mme Beguin. Ils vivent heureux et ont deux filles, Andrée et Marie-Claude. Suzanne est femme au foyer, tient son intérieur, sort peu, se plaît dans sa maison à s'occuper de son époux et de l'éducation de ses filles. C'est en 1975, à l'aube d'une retraite bien méritée, qu'ils s'installent à Saissac. Ils peuvent alors profiter pleinement de leurs filles, de leurs cinq petits-enfants et de leurs nombreux arrière-petits-enfants. Ils vécurent heureux jusqu'en 1999, date à laquelle M. Beguin décède, peu avant son 100e anniversaire. Suzanne rejoint alors les Fountetos en 2012, et passe depuis des jours tranquilles. Nous lui souhaitons un bon anniversaire, et espérons réunir une fois de plus sa famille et ses amis l'année prochaine !

Des sauveteurs sur les plans d'eau douce

Sapeur-pompier volontaire à Gruissan, il arrive parfois à Kévin Albert (notre photo) de délaisser le littoral pour assurer une surveillance du lac du Lampy à Saissac où les activités nautiques sont autorisées. Il en est de même à Mirepeisset, Bize-Minervois, Pradelles-Cabardès, Ribaute, Lagrasse, Davejean, Puivert et Duilhac-sous-Peyrperthuse. Les pompiers assurent «en fonction de l'affluence, explique Jean Pierre Cires, responsable des secours nautiques dans le département, une surveillance de juillet à août». Chaque année, ce sont quelque 25 jeunes pompiers qui veillent à la sécurité des vacanciers. Et il y aura peut-être bientôt une dixième commune à s'assurer les services du SDIS. «Belcaire devrait signer une convention avec nous pour l'année prochaine», conclut Jean-Pierre Cires.

Laurent, l'enfant du pays

ZOOM sur l'aventure du Petit Train !

C'est une aventure qui a débuté il y a quelques décennies avec Loulou Barbaste,
le long de la Rigole et des routes du Saissagais
et qui se perpétue depuis tout autour de la Cité de Carcassonne
avec aux manettes Pierre Barbaste.

15 ans après cette photo, ils obtiennent le sésame !

Carton plein pour nos lycéens au Bac 2014 !
7 présentés, 7 reçus et avec mentions svp !
La palme à Youri Paupe qui lui décroche une mention TB !

FELICITATIONS à tous !!!!

Angelé Marina, Beteille Mathieu, Fabre Pauline, Fantin Laurène, Mestre Grégory, Michel Yohan, Paupe Youri .

André Carles - Artisan magicien

André Carles, menuisier-ébéniste ainsi que charpentier-couvreur, aime à raconter que sa passion vient de sa jeunesse. En effet dans ces années-là, Saissac comptait bon nombre d'artisans et le jeune André partant pour l'école aimait s'attarder et regarder ces hommes cent fois mettre l'ouvrage sur le métier, les voir créer, faire naître, de la glaise ou du bois, des objets, des œuvres, la magie de la création. Alors André, 14 ans, entreprit des études au CET Saint-François à Castelnaudary, et ce durant trois ans à raison de quarante heures par semaine. L'excellence se mérite. Il se souvient de sa toute première installation à 19 ans : dans une remise du village qu'il dut partager avec un drôle de colocataire : un cochon ! bien dodu et caractériel, qui ne supportait pas le bruit qu'André pouvait faire, un vrai caractère porcin !

Le bois, c'est une histoire de famille chez les Carles, ses deux frères sont menuisiers aussi, et son fils, bon sang ne saurait mentir, est charpentier.

Depuis son installation pas un jour sans travail, les semaines bien remplies, parfois il se permet de s'échapper un moment afin d'aller aux cèpes et autres morilles ! Par la suite il fut secondé par sa charmante épouse Martine qui s'occupe des tâches administratives et va parfois même sur les chantiers donner un coup de main. Son travail le passionne, il fabrique tant des portes que des fenêtres, des escaliers en noyau évidé, des toitures de tuiles vernissées (comme aux hospices de Beaune), d'ailleurs il a été en charge de la réfection de trois clochers notamment celui de Villepinte. Châtaignier, frêne et merisier sont les essences qu'il utilise, si l'on veut de la qualité la matière première est primordiale. André nous dit que son métier a beaucoup évolué, les commandes ont changé : «je ne fais plus de moustiquaire», dit-il un peu nostalgique. Et de rabot en trusquin, de wastringle en tarabiscot, André est toujours ravi après une bonne journée de travail, alors à ses heures perdues il se transforme en apiculteur et part récolter de ses quatre ruches le fruit d'un autre labeur bien mérité.

La saga des "Mystères de Carcassonne"
signée Claude BOUDET est de retour.

Quatre ans après l'apparition du commissaire Grassin et de Casa, le journaliste du Midi Libre, ceux-ci sont de retour dans La revanche de Janus,
la suite des Mystères de Carcassonne signée  Claude Boudet.
Cette fois, l'intrigue nous entraîne de la place Carnot au quartier du Tivoli en passant par Prague,
sur la piste du marquis de La Valette en compagnie d'étranges clones.

L'ombre du Golem apparu dans le tome 1 plane toujours sur cette nouvelle aventure
menée "tambour battant" dans les rues de la bastide. Le polar de l'été à Carcassonne !

Claude Boudet
Les mystères de Carcassonne
La revanche de Janus
Collection Crimes et châtiments Editions Les Presses Littéraires 2014
430.p / 14 €

Chroniques de Carcassonne
http://chroniquesdecarcassonne.midiblogs.com/archive/2014/06/19/la-saga-des-mysteres-de-carcassonne-signe-claude-boudet-est-809751.html

Saissac - Le cadre unique du château cathare

Une vision particulièrement saisissante à la fin de l'été quand les premières neiges ont déjà blanchi les plus hauts sommets. C'est, sans conteste, de l'extrémité méridionale du château de Saissac qu'il faut admirer ce panorama inoubliable. Construit au Xe siècle, le château cathare a connu une histoire très mouvementée, dont les traces se lisent dans ses imposants vestiges ouverts à la visite.

Siège d'une cour fastueuse où se rencontrèrent les troubadours les plus importants du Languedoc, il se métamorphosa, pendant la croisade contre les Albigeois, en une véritable forteresse tenue par les résistants cathares.

Le trésor de Saint-Louis

Après la victoire des armées royales, le castrum, premier village fortifié, fut abandonné et reconstruit hors des murailles. Racheté par une riche famille de marchands de pastel au XVIe siècle, le château se transforma en une agréable et très vaste demeure bourgeoise avant d'héberger, de nouveau, des troupes durant les guerres de religion. En 1979, des ouvriers occupés à des travaux de réhabilitation y ont découvert le plus important trésor monétaire du Languedoc-Roussillon. Composé de 3 000 deniers frappés à l'effigie de Saint-Louis, il est aujourd'hui, une des attractions principales du site. Une exposition passionnante narre toute l'histoire de la monnaie, de l'extraction du minerai à la frappe des pièces.

Saissac est également un pays d'eau où fontaines, lavoirs et jardins potagers sont à la fête. En descendant des hauteurs du village vers le château et l'église, vous croiserez d'innombrables ruisseaux. Ces béals, des déviations des eaux de la Vernassonne et de l'Aiguebelle qui servaient, jusqu'au XIXe siècle, à l'alimentation des forges, des moulins et des filatures qui firent la richesse de cette jolie bourgade.

Tous les jours 9 h-20 h. Adultes : 5 €, enfants : 3 €. Tél. 04 68 24 46 01.

Midi Libre

Médaille d'honneur
du District de l'Aude de Football.

Mon
"coup de coeur"
pour le site Internet
du Foyer d'Hébergement de Saissac.

http://www.apajh11.fr/Actualite-du-Foyer-d-hebergement-de-Saissac_44_88_89.html?start=1

Jack Chevallier

Aprés pas mal d'années à la tête des clubs (COS puis ASSC),
il vient d'émettre le désir de se retirer !

Saissac/Cabardès. Jack Chevallier, ancien Président de Saissac et actuel Président de Saissac/Cabardès a annoncé sa volonté de prendre du recul à la fin de cette saison. Un passionné qui a beaucoup œuvré pour son club et le football en général, qui va très certainement manquer dans cette micro région où le football est bien enraciné.
                                                                                                                                                                  LDM 22/05/2014

Nous le remercions pour tout le travail accompli
et lui souhaitons une bonne retraite footballistique !

En footballeur

En Président.

Cyril Delpech

Maire de Caudebronde
et
ex-coéquipier du CO Saissac,

élu à la
Présidence de la Communauté de Communes.

Courses
USEP
2014

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En mémoire de Medhi,
trop tôt disparu !

 Une pensée pour Samuel,
longtemps équipier du CO Saissac,
et pour sa famille.

Dr Michel, un pluridisciplinaire

Municipales: la liste S'unir pour l'avenir

A l'occasion du dernier 14 juillet,
Clément Vialade
a eu l'honneur de défiler sur les Champs Elysées
avec un détachement de son Ecole Militaire (ENSOA).

Nul doute que cette journée restera gravée en lui.

Félicitations.

Adeline à l'honneur ...

et la section judo !

Les responsables du Foyer rural de Saissac peuvent être fiers de leur section judo.
En effet, le 4 mai à Narbonne, lors de la sélection régionale cadettes,
la Saissagaise Adeline Racaud, après avoir terminé 1re, s'est qualifiée pour participer
à la Coupe de France qui se déroulera le 1er juin à Seyrat (près de Clermont-Ferrand).

A la "Une" de l'indépendant ...

"Le prix du serment"
un livre passionnant de Louis Ruiz

Louis Ruiz présentant son livre. PHOTO/© D.R

 Louis Ruiz est un monsieur de 83 ans, Saissagais d'adoption. Il est né le 17 août 1929 à Barcelone. Acteur malgré lui du voyage sans retour de nos voisins espagnols fuyant la guerre civile et ses drames, il a passé quelques mois dans le froid et l'insalubrité d'un camp de réfugié. C'est à Fontiès-Cabardès que la famille reconstituée va s'installer. Son père travaillant à la mine de La Loubatière, à Lacombe, c'est tout naturellement que Louis Ruiz le rejoint à la mine alors qu'il est encore adolescent, pour extraire le minerai de plomb. Il y passera 16 ans, comme mousse au début et comme treuilliste en fin de carrière, au moment de la fermeture de la mine, dans les années 60, décidée arbitrairement par une multinationale au détriment des ouvriers des villages de la Montagne Noire. Le livre que Louis Ruiz a dédicacé récemment à l'espace culturel du centre Leclerc de Carcassonne, est de ceux qui peuvent prétendre satisfaire le curieux qui recherche comment vivaient nos parents, quelles étaient leurs joies, leurs peines ou leur dur labeur. "Le prix du serment", tel est son titre. On y découvre le dur travail des mineurs, leurs joies, mais également leurs drames. Un livre où parfois se glissent quelques vers, comme ceux-ci : "En or massif ou en ivoire, le monde se doit d'élever un monument à la mémoire de ceux pour qui j'écris ces vers".

L'Indépendant